Célébrant les 100 ans de l’arrivée du jazz en Europe, Paul Lay et ses deux merveilleux musiciens s’approprient quelques-unes de ces chansons folkloriques américaines qui ont façonné la culture des premiers musiciens de jazz et bercé les jeunes années des soldats débarqués sur le sol français. Un hommage musical riche en émotions entre jazz, folk et blues...

Autour des “Carnavals”

“Salut, étoile de la mer, ô très sainte Mère de Dieu...” Devenu la prière des voyageurs de toute l’Europe, l’ancien hymne grégorien Ave Maris Stella ouvre ce programme célébrant Marie, figure de l’amour maternel et miséricordieux. Du célèbre Beata viscera de Pérotin au XIIIe siècle aux créations contemporaines d’Emily Dickens, c’est un large éventail de répertoires sacrés que dévoile Apollo5, quintette vocal dont la beauté des voix vous immerge dans un océan de pure harmonie...

Programme à préciser

Tantôt caressantes, tantôt puissantes, les voix des Itinérantes vous guident à travers des terres familières ou inconnues, dans un voyage où les époques s’entremêlent et les frontières se dissipent...

Exaltant les grandes figures de l’Ancien Testament, les “drames liturgiques” figurent parmi les trésors que le Moyen-Âge nous ait laissé : “La Résurrection” mettant en scène les péripéties des trois Marie autour de la Résurrection du Christ, et “La Conversion de Paul” relatant la conversion de Paul sur le chemin de Damas forment ainsi le corps de ce programme introduit par des pièces issues du répertoire à l’Archange Saint Michel.

Programme à préciser

Associant des compositeurs aussi variés que Thomas Tallis, William Byrd, Claude Debussy ou Michael McGlynn, Apollo5 invoque la rose, symbole de puissance et de fugacité, pour explorer les multiples facettes de la plus complexe des émotions humaines : l’amour et toutes les notions qui s’y rattachent - la vie, la beauté, la mort, la perte et l’amour inconditionnel de la mère, jusqu’au sacrifice ultime de la Vierge Marie dans le récit chrétien.

Dès sa première sonate, le jeune Beethoven semble s’écrier tel un héros de Chateaubriand : “Levez-vous, orages désirés, qui devez emporter Ludwig dans les espaces d’une autre vie !” En 1802, année de la célèbre “Clair de lune” et à mi-parcours du journal intime des 32 Sonates, méditation et révolte se confrontent : Beethoven sait qu’il est devenu irréversiblement sourd. Quelque vingt ans plus tard, l’ultime étape de l’opus 111, cadeau de lumière d’un homme à ses semblables mais aussi à son créateur, marque l’accomplissement de la quête spirituelle qui n’a cessé d’habiter le musicien.

Un programme original mettant en lumière les influences réciproques de l’Espagne et de la France à travers les airs de cour en espagnol des compositeurs français Gabriel Bataille, Etienne Moulinié et Henri de Bailly, et les pièces instrumentales d’inspiration française des compositeurs espagnols Santiago de Murcia et Gaspar Sanz.

Avec une personne de la rédaction et un ensemble musical. Fouler le sable de ses pieds nus, écouter la musique et le vent, partager le plaisir et la spiritualité d’une traversée de la baie, tel un Miquelot qui arrive au Mont Saint-Michel…

Départ au Mont Saint-Michel, trajet en car jusqu’à Genêts, retour au Mont Saint-Michel.

Un magnifique hommage à Bach, maître de la composition vocale, et à quelques-unes de ses plus belles pages chorales auxquelles Calmus associe de subtils “collages” mêlant d’authentiques pièces vocales et des versions chantées de sa musique instrumentale : chorals, cantates, chants sacrés et pièces pour orgue entrent ainsi en résonance et n’en expriment que mieux la foi profonde de Bach, fondement de son inspiration.

Œuvre monumentale du compositeur estonien Arvo Pärt, Kanon Pokajanen offre le même rayonnement spirituel et contemplatif que la peinture d’icônes. Plongé au cœur de ce dialogue avec le sacré, dans un temps suspendu, on ne peut qu’admirer l’étonnante synergie vocale et la merveilleuse pureté de ton de l’ensemble Vox Clamantis dirigé par Jaan- Eik Tulve.

Un magnifique hommage à Bach, maître de la composition vocale, et à quelques-unes de ses plus belles pages chorales auxquelles Calmus associe de subtils “collages” mêlant d’authentiques pièces vocales et des versions chantées de sa musique instrumentale : chorals, cantates, chants sacrés et pièces pour orgue entrent ainsi en résonance et n’en expriment que mieux la foi profonde de Bach, fondement de son inspiration.

Interprétant un vaste répertoire a capella, sans limites de styles ni d’époques, les neuf chanteurs d’Egregor Vocal donnent toute la mesure de leur talent à travers ce programme associant différents compositeurs et différents pays - Angleterre, Brésil, Slovénie, France, États-Unis...

S’inscrivant dans la tradition du chant militaire, vecteur de cohésion et de transcendance, le Chœur de Saint-Cyr Coëquidan a composé un programme très original rassemblant des chants médiévaux - Da pacem Domine, La complainte des templiers... - et des chants témoignant de combats au fil de l’histoire, de l’époque de la Première Guerre mondiale - Les épis mûrs, La Cavalcade, Prière à Saint Michel... - jusqu’à nos jours avec des compositions originales telles que Pour que Vive France.

Spécialiste de la musique du Siècle d’or espagnol et de la Renaissance italienne, Cantoría, jeune quatuor vocal catalan, s’attache à faire revivre un répertoire méconnu constitué de pièces de Bartomeu Cárceres, Mateo Flecha ou Francisco Guerrero. Mêlant plusieurs langues et manifestant une puissance théâtrale et communicative peu commune, elles développent souvent des thèmes religieux mais chantent aussi l’amour et ses vicissitudes, ou la victoire des Espagnols à la bataille de Pavie.

Symbolisant l’alliance merveilleuse de l’art et de la nature, l’oiseau chanteur, poète et prophète se fait aussi l’écho terrestre du chant des anges. Les musiciens du Moyen-Âge évoquent ainsi sa double nature, réelle et idéale ; utilisant l’imitation avec art et malice, ils touchent au sublime lorsqu’ils font chanter les anges... Entre l’ange et l’oiseau, un bel hommage à la plume mais aussi à l’écriture grâce à laquelle toutes ces merveilles musicales nous sont parvenues.

Autour du Tombeau Les regrets de Monsieur de Sainte-Colombe sont réunies quelques-unes des plus belles pièces de celui que l’on surnommait “l’Orphée de notre temps”, ainsi que des transcriptions à trois violes, dans l’esprit des concerts que Jean de Sainte-Colombe donnait avec ses filles.